Si Jean-Marc aime autant affronter en cour des corporations, c’est un peu de la faute à Rage Against the Machine –un groupe rock dont les textes engagés ont provoqué son éveil politique dans sa jeunesse. Il est intarissable au sujet du pouvoir du droit pour discipliner les compagnies minières dans les pays en voie de développement, des dossiers dont il connait les dimensions géopolitiques grâce au baccalauréat en sciences politiques et philosophie qu’il a complété à McGill en 2010. Il a d’ailleurs effectué un stage en Gambie dans une ONG de défense juridique des droits de la personne en 2013 dans le cadre de ses études en droit civil (B.C.L.) et en common law (LL.B.), toujours à McGill.

Depuis son entrée chez Trudel Johnston & Lespérance comme avocat en 2014, Jean-Marc a travaillé sur plusieurs actions collectives comme le dossier d’agressions sexuelles commises par le directeur des loisirs de la ville de Westmount et les fausses déclarations de Barrick Gold sur un projet de mine au Chili. Les infractions au droit de l’environnement, les violations des droits de la personne et les fraudes financières sont des dossiers qui l’interpellent particulièrement. Soucieux des droits des immigrants, il représente bénévolement des locataires en litige avec leurs propriétaires en collaboration avec plusieurs organismes communautaires.

Jean-Marc a toujours son cœur de rockeur bien en place : il joue de la batterie dans un balbutiement de groupe rock avec un ami guitariste. Très amateur, il se dit davantage dans la ligue de Meg White, des White Stripes, que de son idole Neil Peart du groupe Rush. Sachant que les White Stripes ont vendu des millions d’albums, ce n’est pas si mal.

Il s’est joint comme associé en janvier 2023.

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